Le médecin, Joseph Nderitu, de l’hôpital national Kenyatta, s’est inspiré des masques de qualité inférieure qui ont saturé le marché lorsque le COVID-19 a frappé le Kenya en mars 2020.
Selon Nderitu, les masques chirurgicaux ordinaires n’étaient que des barrières mécaniques qui filtraient les microbes, mais rien ne permettait de tuer les bactéries ou les virus.
Article en anglais
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